Village médiéval construit pour abriter les habitants des guerres de Cent ans, il offre le long de la route son épais et sombre rempart.
Ne vous laissez pas repousser par cette rudesse et pénètrerez dans les ruelles. Celles-ci sont riches en détails d’architecture particulièrement intéressants.
A voir aussi :
Dolmens, tombes ovales du troisième millénaire avant notre ère dont une ornée d’une statue-menhir.
(Musée de la préhistoire en cours de rénovation).
Alors, laissez-vous surprendre aux détours des sentiers et… goûtez l’insolite !
Au XVIIIe siècle, Viols-le-Fort, dépendant du marquisat de la Roquette, était toujours une communauté vivant à l’écart des grands courants de d’échange. Bien que situé à proximité de la route dite de Vieille Toulouse (Nîmes - Toulouse), le village, entièrement rural, vivait en presque totale autarcie, l’élevage ovin et l’exploitation du bois constituant les activités essentielles.
Malgré tout, le territoire était habité depuis longtemps : les hommes du Néolithique et de la protohistoire (Age des métaux) y ont laissé de nombreux vestiges : villages semblables à celui de Cambous (Viols-en-Laval), dolmens, tombes ovales, statues-menhirs, tumuli.